Ambongo: "Si ça n'avance pas jusqu'à samedi, nous en tirerons toutes les conséquences"

Les parties prenantes aux discussions sur l'arrangement particulier n'ont pas réussi ce jeudi 23 mars 2017 à boucler le travail de commission chargée de la répartition des postes ministériels.

Selon les délégués des composantes, des divergences subsistent sur la question du poids des postes à pourvoir pour chaque composante.

À ce stade, la répartition des postes se présentent comme suit:
<ul>
<li>MP: 12 postes déjà acquis sur les 17 alloués</li>
<li>Opposition signataire: 4 postes acquis sur les 8 alloués</li>
<li>Rassop: 3 postes acquis sur les 12 alloués</li>
<li>Opposition républicaine: 1 postes sur 2 alloués</li>
<li>Société civile signataire: 1 poste alloué et acquis</li>
<li>Société civile non-signataire: pas encore de poste pourvu que 1 alloué</li>
</ul>
Apres 3 jours de travaux, la commission chargée des repartions des postes ministériels n'a pas réussi à boucler son travail, renvoyant la question de la présidence du CNSA, pourtant à l'ordre du jour, pour demain vendredi, voire samedi.

Pour le vice-président de la CENCO, Mgr Fridolin Ambongo, les Évêques se sont fixés jusque samedi 25 mars pour voir de la part des uns et des autres une réelle volonté d'avancer.
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-100" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="100">"D'ici samedi, nous aurons le temps de faire le constat si effectivement les gens sont de bonne foi pour qu'on termine dans les délais et effectivement, on peut terminer dans les délais. Mais si jusque samedi on ne termine pas et que nous nous rendons compte qu'il y'a mauvaise volonté, nous en tirerons toutes les conséquences", a déclaré Mgr Ambongo devant la presse.</blockquote>