Patrick kakwata propose l'élargissement du gouvernement aux non participants au dialogue

<span style="font-weight: 400;">Le président du Mouvement des Réformateurs Libéraux (MRL), Patrick André Kakwata a réagi  à la question de la nomination d'un premier ministre issu de l'opposition et du cadre constitutionnel qui le réglemente. </span><span style="font-weight: 400;">
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</span><span style="font-weight: 400;">Pour ce cadre de la majorité présidentielle, la majorité parlementaire ne s'est pas effritée. Elle se retrouve plutôt renforcée en ce sens que tous les signataires de l'accord de la cité de l'UA sont devenus de facto alliés de la MP. La nomination d'un premier ministre est de ce fait conforme à la constitution.</span><span style="font-weight: 400;">
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</span><span style="font-weight: 400;">Patrick André Kakwata a aussi parlé de taille du gouvernement et des attentes de la population. </span><span style="font-weight: 400;">
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</span><b>Samy Badimbanga a été nommé premier ministre. Ne fallait-il pas au préalable identifier une nouvelle majorité pour se conformer à la constitution?</b><b>
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<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-95" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="95"><em>On parle d'identifier une majorité quand on a perdu la première. À ce jour, avons-nous perdu la majorité? Je ne crois pas! Donc, je ne suis pas de cet avis.</em></blockquote>
<b>La constitution ne prévoit pas implicitement la non-organisation des élections. C'est donc une contrainte que vous qui êtes au pouvoir n'avez pas respecté? </b><b>
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<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-95" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="95"><span style="font-weight: 400;"><em>Vous avez bien dit que ce n'est pas ce qui est prévu dans la constitution. Il faudrait noter que nous sommes dans une situation que je peux appeler "un cas particulier", d'autant plus tard que dans la constitution du 18 février 2006, nous avions tous omis d'inscrire ce que nous devrions faire au cas où les élections n'étaient pas organisées. Heureusement, de l'intelligence et de la sagesse que nous nous sommes retrouvés à la cité de l'UA où on a dégagé un accord qui a été signé par la composante majorité présidentielle, la société civile, de l'opposition et les personnalités indépendantes. Et c'est sur base de ce cas particulier que nous fonctionnons en ce jour, mais sans préjudice des dispositions de la constitution.</em> </span><span style="font-weight: 400;">
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<b>La nouvelle équipe gouvernementale ne sera-t-elle composée que des participants au dialogue?</b>
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-95" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="95"><em>On parle d'un dialogue inclusif. On cherche à ce qu'il y ait la paix, que nous puissions aller de l'avant. Ceux qui étaient à la cité de l'UA ne sont que des représentants. Mais pour raison de quiétude, raison de paix et de stabilité, si aux sein de ceux de l'extérieur il y a la matière grise et la compétence, je ne vois pas pourquoi on ne peut aller prendre pour le gouvernement, d'autant plus que nous avons un dénominateur commun, c'est la RDC, et nous travaillons tous pour l'amour de la patrie pour une meilleure république.</em></blockquote>
<span style="font-weight: 400;">Patrick André Thiery Kakwata est élu de Kolwezi dans la nouvelle province du Lualaba.</span>