Le siège de l’UDPS et la résidence d'Etienne Tshisekedi sont encerclés par les policiers depuis ce 19 novembre, jour du meeting dit “carton jaune final” à Joseph Kabila.
<span style="font-weight: 400;">Contacté à ce sujet, Jean-Marc Kabund, Secrétaire Général de l’UDPS déplore ce système qu’il qualifie d’intimidation. Il demande au gouvernement de cesser ces actes de provocation . </span>
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-95" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="95"><span style="font-weight: 400;">“</span><i><span style="font-weight: 400;">Nous constatons le déploiement des militaires habillés en tenue policière autour de notre permanence et à la résidence du président depuis la veille du meeting empêché du samedi 19 novembre. La stratégie c’est uniquement d’empêcher les militants de l’UDPS de se retrouver pour se partager les informations. Nos combattants ne se sont pas laissés faire, ils se réunissent actuellement à 50 mètre du siège du parti comme d’habitude. Le gouvernement doit cesser les actes de provocation, ils doivent céder la place aux autres pour qu’il y ait la paix dans le pays”, </span></i><span style="font-weight: 400;">a dit le Secrétaire général de l’UDPS.</span></blockquote>
<span style="font-weight: 400;">A l’issue du meeting empêché du 19 novembre dernier, le président de l’UDPS et du comité des Sages du Rassemblement, Étienne Tshisekedi, a dit avoir lancé un compte à rebours jusqu'au 19 décembre 2016, date de la fin du mandat de Joseph Kabila.</span>
<span style="font-weight: 400;">Christine Tshibuyi</span>