Les Garants de l’accord-cadre ont exprimé leur inquiétude en ce qui concerne la poursuite des activité de la rébellion ougandaise des forces démocratiques alliés (ADF) et rwandaise des FDLR dans l’Est de la RDC.
Ces inquiétudes ont été exprimées lors d’un sommet de l'Union Africaine auquel a été convié le chef de la MONUSCO, Mamane Sidikou le 27 janvier 2017 dans la capitale Éthiopienne (Addis- Abeba)
Vigiles du respect de l’accord-cadre , ces organisations ont réaffirmé leur intention de poursuivre les attaques contre ces forces négatives, source d’instabilité dans cette partie Orientale du pays.
«Les participants ont exhorté les chefs d’État-major des armées des pays membres de la CIRGL et de la SADEC de s’entretenir avec la Monusco et le gouvernement congolais pour reformuler des recommandations adéquates afin de neutraliser complètement ces forces négatives toujours actives », ont - elle suggéré dans une déclaration au terme du sommet.
Les Garants de l’accord-cadre ont également encouragé les consultations conjointes entre le gouvernement congolais et l’ex rébellion du M23 pour la poursuite de la mise en œuvre des déclarations de Naïrobi.
La semaine dernière, deux hélicoptères des FARDC s’étaient écrasés pendant une expédition dans la région de Karisimbi et Mikeno, où le gouvernement congolais avait signalée la présence des combattants de l'ex rébellion du Mouvement du 23 Mars (M23).
Will Cleas Nlemvo