Elim/Coupe du monde 2026: Samuel Moutoussamy, Charles Pickel et Edo Kayembe, on prend les mêmes et on recommence?

Les Léopards de la République Démocratique du Congo disputent leur match de la 7ème journée de la 7ème journée de ce tournoi ce vendredi 5 septembre. Ce sera en déplacement face aux Bright Stars du Soudan du Sud. 

Le staff technique congolais dispose d’un effectif très étoffé dans presque chaque poste qui est doublé ou même mieux triplé comme c’est le cas au milieu de terrain où le trident Samuel Moutoussamy, Charles Pickel et Edo Kayembe semble avoir la faveur pour staff technique au regard surtout du match face à la Mauritanie lors de la 6ème journée où les Léopards sont allés l’emporter. Ce fut un risque bien évidemment de jouer avec trois milieux dont seulement un qui a des velléités offensives à l’instar de Edo Kayembe, qui est à l’aise ballon au pieds. Un risque qui a porté ses fruits. Mais maintenant deux autres joueurs viennent, curieusement viennent de postuler à savoir: Noah Sadiki et Aaron Tshibola, qui sont également dans le même registre que les trois premiers cités. Ce sont des choix des riches que le staff technique va devoir gérer sachant qu’il y a un deuxième match à Kinshasa face aux Lions de la Teranga du Sénégal. 

L’encadrement technique des Léopards a fait clairement le choix de ne pas jouer avec un meneur de jeu type et n’a pas choisi que joueurs à vocation défensive maiss qui ont certainement des tâches offensives à réaliser parce qu’au finish il faudra marquer pour faire la différence. Il avait essayé à certain moment Théo Bongonda comme meneur de jeu, il se fait que le joueur du Spartak Moscou (Russie) ne n’est pas très bien retrouvé, lui qui est un pur ailier. 

Les Léopards sont au tournant de leur parcours dans ces éliminatoires où ils peuvent valider leur ticket en négociant de la meilleure des manières ces deux rencontres devant ses deux concurrents directs. En cas de victoire, les Fauves Congolais feront un pas important pour une qualification pour un retour au Mondial, plus de 50 ans après.

Michel TOBO