Les députés nationaux et sdoivent-être des premiers acteurs impliqués dans la mise en œuvre des engagements pris par la République démocraau niveau international, dans la détermination des politiques sectorielles de développement sobre en carbone. D’autant plus que ces engagements pris par l’Etat congolais au niveau international, notamment l’Accord de Paris, doivent être transposés dans la législation nationale et qu’ils soient financés non seulement par les partenaires techniques et financiers, mais également pris en charge par des crédits budgétaires votés au Parlement.
Ainsi, les élus du peuple et les élus des élus sont appelés à jouer efficacement leur rôle de décideurs politiques pour ce faire. Et en tant que législateurs, ils se trouvent au cœur du dispositif de lutte contre les changements climatiques.
Non seulement que les deux chambres du Parlement sont bien placées pour exercer un droit de regard sur les mesures prises par le Gouvernement congolais pour lutter contre les changements climatiques à l’échelle nationale, mais également elles peuvent en outre exiger l’Exécutif national de rendre compte de ses actes ou de son inaction.
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