Le directeur de la division Véhicule électrique, Gilles Normand, ne s’n’inquiète pas de l'approvisionnement du cobalt. Pour lui, la tension actuelle est passagère. Il évoque un "effet spéculatif" qui sera à court terme « 2019-2020 ».
<em>"Le coût du cobalt a doublé, mais nous observons une baisse de 20 % depuis deux ou trois mois",</em> a-t-il dit <a href="http://journalauto.com/lja/article.view/29013/cobalt-la-direction-ve-de… journal de l’auto.</a>
Bien plus, il évoque le projet de revoir la conception des batteries de sorte à se passer du cobalt. "<em style="font-weight: inherit;">Dans cinq ou sept ans, nous devrions avoir réduit drastiquement la quantité et pensons ne plus y avoir recours d'ici à 2030</em>", a-t-il déclaré.
Renault avait annoncé en juin qu'il allait investir un milliard d'euros en France d'ici à 2022 pour le développement et la production de véhicules électriques.
Plus de 60% du cobalt provient de la RDC où il est exploité essentiellement par Glencore, China Molybdenum Co et d’autres opérateurs de moindre envergure. Aussi, le géant chinois GEM, spécialisé dans le recyclage de batteries, a annoncé qu’il achètera près d’1/3 de la production de Cobalt de Glencore en RDC entre 2018 et 2020...<a href="http://deskeco.com/voiture-electrique-renault-evoque-le-projet-de-se-pa… la suite sur DESKECO.COM</a>