<b>Dans la capitale de la RDC, la boisson à forte dose d’alcool, communément appelée "Agene", prend de plus en plus de la place, même dans des bistrots. </b><strong>Une menace croissante et une concurrence déloyale pour les fabricants de boissons (brasseurs, producteurs de spiritueux et autres). Vendu comme des petits pains, "Agene" ne semble pourtant pas réveiller l'attention des autorités politico-administratives. </strong><b> </b>
Assise chaque soir devant la porte de sa maison, maman Mado se sent déjà inquiète parce qu’elle va dormir, la porte de sa maison ouverte malgré l’insécurité persistante dans le quartier Kingasani ya Suka, dans la commune de Kimbanseke. Son fils, 40 ans révolus, la contraint à ne pas fermer la porte chaque soir, même si son retour intervient toujours tardivement, environ vers minuit. A son arrivée, Paul se fait d’habitude remarquer par sa voix rauque. Il crie, pousse brutalement la porte de la maison, se rend à la cuisine pour chercher à manger et n’hésite pas, de temps à autres, à hausser la voix pour réveiller sa mère.
<i>« Maman, je ne suis pas ivre. Mais j’ai simplement pris un peu de “guégué” ou si vous voulez “Agene” pour bien dormir »</i>, raconte-t-il.
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