<span style="font-weight: 400;">Certains responsables des partis politiques qui se sont confiés sous anonymat à ACTUALITE.CD, souhaitent que la CENCO permette aux signataires de l’Accord de la cité de l’UA n'ayant pas pris part aux discussions du Centre Interdiocésain de signer le récent Accord conclu le 31 décembre dernier. </span>
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-95" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="95"><i><span style="font-weight: 400;">«En toute logique, il fallait qu'à la fin des discussions, tous ceux qui ont signé l'Accord du 18 octobre 2016 puissent ratifier celui du 31 décembre 2016. Ce dernier insistent sur le mot " parties prenantes". Or ceux qui l'ont signé ne sont qu'une vingtaine. Alors que ceux qui ont signé celui du 18 octobre étaient plus nombreux. Ils peuvent fustiger l'exclusion et donc la non inclusivité. C'est sur ça que se fonde aussi la MP pour dire que l'accord n'est pas inclusif. Je crois qu'en ne laissant pas une brèche qui permet aux signataires de l'Accord du 18 octobre et tout autre acteur de ratifier l'Accord de la CENCO, le caractère inclusif de cet accord peut être remis en cause», </span></i><span style="font-weight: 400;">s’est plaint le président d’un parti d’opposition, allié de l’UNC.</span></blockquote>
<span style="font-weight: 400;">Se confiant exclusivement à ACTUALITE. CD, le secrétaire intérimaire de la CENCO dit qu’à ce stade, seuls les négociateurs peuvent signer l’Accord.</span>
<i><span style="font-weight: 400;">«Jusque là il n’y a pas une disposition pour ouvrir à ceux qui n’ont pas participé. Je ne sais pas si ça sera le cas. On va le voir avec le Conseil de Suivi. Au stade actuel on est pas encore à ce niveau là, peut être on va évoluer».</span></i>
Dans un communiqué de presse de ce mardi 3 janvier, la CENCO a indiqué qu’elle continue d’attendre d’autres acteurs pour signer l’Accord en vue de sa mise en oeuvre.
Patrick Maki