Le ministre belge des Affaires étrangères Didier Reynders s’est réjoui de la signature de l’accord politique ce 31 décembre 2016 au Centre interdiocésain.
Dans un communiqué publié ce 01 janvier 2017, Reynders a estimé que cet accord constitue un pas important et positif vers une courte transition inclusive.
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-95" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="95"><i><span style="font-weight: 400;">« La transition devrait nécessairement permettre l'organisation en 2017 d'élections libres, la réouverture de l'espace démocratique et la gestion consensuelle de la transition dans le respect de la Constitution"</span></i><span style="font-weight: 400;">, a-t-il dit.</span></blockquote>
Selon le diplomate belge, l’organisation des élections libre, la réouverture de l’espace politique et la gestion consensuelle de la transition constituent les clés de la sortie de crise dans laquelle le pays est plongé suite à la non-organisation des élections en 2016.
La Belgique a appelé les négociateurs à poursuivre leur travail. Elle a également invité les institutions congolaises à intensifier les opérations qui mèneront à ces élections avant la fin de l'année et à augmenter la transparence budgétaire des élections pour créer les conditions de gouvernance "faisant défaut aujourd'hui" et qui permettront un soutien externe.
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-95" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="95"><i><span style="font-weight: 400;">"La Belgique sera attentive à la mise en œuvre de ce texte, ainsi qu'aux mesures qui seront prises en vue d'un rétablissement de l'espace démocratique et des droits et libertés afin que toutes les opinions trouvent à s'exprimer dans le pays et que les élections puissent constituer le reflet authentique des aspirations du peuple congolais</span></i><span style="font-weight: 400;">", conclut le communiqué.</span></blockquote>
Franck Ngonga