A cinq jours de la fin du dialogue politique national, ACTUALITE.CD donne la parole aux acteurs pour faire le bilan à mi-parcours de ce forum. Jonas Tshiombela, un des rapporteurs de la société civile s’est prêté aux questions de Patient LIGODI.
"Le plus dur reste à faire. On peut dire vraiment que c’est maintenant que le Dialogue commence avec les travaux en commissions. La première partie était plus théorique. On est passé par l’harmonisation des listes, la validation des mandats des délégués, l’évaluation du processus électoral par la CENI, l’ONU, l’OIF et les commentaires de tous et de chacun. La refonte ou pas du fichier électoral, la question de la séquence électorale, le caractère inclusif du dialogue, la libération des prisonniers politiques, nous ont pris du temps. Maintenant, trois commissions ont été composées et leurs animateurs sont quasiment connus. La société civile était en réunion ce matin pour travailler sur sa participation dans des commissions notamment en tant que rapporteurs. "
<strong>Vous arrivez à exister au côté de la Majorité présidentielle et de la composante Opposition ?</strong>
La société civile est active et travaille activement. Nous sommes conscients des attentes de la population. Nous sommes interpellés et essayons d’être le défenseur de la communauté.
<strong>On vous accuse d’être proche de la Majorité…</strong>
Nous assistons à toutes les discussions sur le Congo sans trahir. Nous étions à Gorée, à Genval et nous sommes ici à la Cité de l’Union africaine. Nous sommes vigilants. Nous voulons savoir comment ça se passe.
<a href="https://soundcloud.com/actualitecd/jour-j-5jonas-tshiombela-societe-civ… l’intégralité de cette interview à travers le Podcast Politique d’ACTUALITE.CD</a>
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