Corneille Nangaa, président de la CENI, a exposé ce mardi 6 septembre 2016 devant la plénière du Dialogue politique national les trois options possibles pour l’organisation des élections en RDC du Congo. Pendant environ trois heures, Nangaa a remonté le temps pour fixer le contexte sociohistorique dans lequel les élections se tiennent avant de présenter les contraintes auxquelles est butée son institution. Cette séance était dirigée par Vital Kamerhe, co-modérateur de l’opposition.
Extraits :
<ul>
<li><em>Depuis plus dix mois que nous cherchons cette opportunité et ce cadre pour exposer sur les contraintes liées à l’organisation des élections.</em></li>
<li><em>Nous avons identifié le problème que nous rencontrons aujourd’hui avec le fichier électoral et qui trouve ses origines sur les options politiques levées il y a quelques années. Nous avons dit aux délégués que s’ils ne prennent pas des nouvelles options, même en 2030 les mêmes problèmes resteront d’actualité.</em></li>
<li><em>Nous avons également présenté les différents modes des élections qui ont déjà été utilisés ici.</em></li>
<li><em>Il faut cependant noter que la compétence des options électorales revient à la CENI. On a déjà débuté avec l’enrôlement au Nord-Ubangi. Le processus se poursuit et plus de 230.000 électeurs ont été identifié et enrôlés. Doit-on revenir sur cette opération ? C’est une option à lever par les politiques. Nous sommes ici comme experts. C’est la même chose pour le calendrier. Nous attendons des indications qui viendront des politiques.</em></li>
</ul>
Interview à découvrir ici.
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