Les forces politiques Alliées de l'UDPS/TSHISEKEDI (FPAU) denonce la démarche de l'eglise catholique et protestante de rencontrer les forces politiques et militaire, notamment l'AFC-M23 dans le cadre du " parcte social pour la paix ".
Selon le FPAU les évêques de l'ECC et de la CENCO ont trahis la patrie, " en se rendant à GOMA pour rencontrer Paul KAGAME par l'intermédiaire de ses marionnettes, qui portent le Sang de dix Millions de Vies cruellement fauchées depuis 30 ans, et surtout celui des Victimes du Carnage de GOMA des 27 et 28 janvier derniers, dont la Mémoire fraîche crie encore Vengeance "
" Ce mercredi 12 février 2025 restera dans les souvenirs tristes de la République. Cette République meurtrie et endeuillée par la barbarie du Rwanda et de ses complices, dont certains se trouvent au sein de l'Église. Les Membres du Clergé ont décidé de trahir la Patrie en plein jour en se rendant à GOMA pour rencontrer Paul KAGAME par l'intermédiaire de ses marionnettes, qui portent le Sang de dix Millions de Vies cruellement fauchées depuis 30 ans, et surtout celui des Victimes du Carnage de GOMA des 27 et 28 janvier derniers, dont la Mémoire fraîche crie encore Vengeance"
Et d'ajouter :
" Cette descente des Membres du Clergé sur la Terre ensanglantée de GOMA où les corps des Victimes jonchent encore les Rues par le diabolisme du Rwanda est une Prime à la Trahison. J'appelle donc l'ensemble des Congolais, dans un élan Patriotique, à prendre acte de cette Traîtrise des Membres du Clergé complices de KAGAME dans cette aventure. Le moment venu, face à l'irréversibilité de l'histoire, chacun rendra compte".
La plupart des critiques en rapport avec ce voyage de Goma se déroulent sur les réseaux sociaux. Certains vont même qualifier les membres de la délégation CENCO-ECC des “pro rwandais”.
La famille politique du Chef de l’Etat Félix Tshisekedi composée du parti présidentiel Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) et de la plateforme Union sacrée de la nation (USN) s’est officiellement opposé à l’initiative du couple CENCO-ECC qui n’a pas « voulu attendre la position finale du Garant de la nation ».