Les Parlements du monde appellent au respect du droit international et à la non-ingérence dans les affaires intérieures des états

 La Sénatrice Francine MUYUMBA NKANGA participant par vidéoconférence à La Cinquième Conférence mondiale des présidents de parlements du monde

La Cinquième Conférence mondiale des présidents de parlements du monde s’est tenue par vidéo conférence du 19 au 20 Août 2020. Du côté RDC, la Sénatrice Francine MUYUMBA NKANGA en qualité de présidente de la Commission des relations extérieures du Sénat y a pris part et a représenté le Président du Sénat Congolais Alexis Thambwe Mwamba.

Les questions liées à la COVID19, le climat, l’économie, l’autonomisation des femmes et des jeunes, l’intensification de l’action parlementaire pour répondre à l’urgence climatique, la démocratie et l’évolution du rôle du parlement, l’amélioration la gouvernance en comblant l’écart entre les parlements et le peuple ainsi que la mise en place des économies inclusives et durables qui permettent d’assurer le bien être et la justice pour tous étaient au rendez-vous.

Après délibération, la conférence des présidents de parlement du monde a adopté une déclaration ayant des recommandations fermes aux États sur la COVID19, le programme de développement durable à l’horizon 2030 et ses 17 objectifs de développement durable (ODD). Les Présidents de parlement du monde considèrent que pour faire face aux conséquences économiques de la pandémie, il faut empêcher immédiatement l’économie mondiale de sombrer davantage dans la récession en renforçant la politique macro-économiques au niveau international et soutenir les marchés financiers mondiaux, tout en protégeant l’emploi et les salaires, et en assurant le bon fonctionnement de tous les acteurs de l’économie.

La Sénatrice Francine MUYUMBA NKANGA présidente de la Commission des relations extérieures du Sénat Congolais et représente du président du Sénat de la RDC a dans cette conférence mondiale salué l’ensemble de la déclaration en mettant l’accent sur la décision contre la violation du droit international en appellent au strict respect la non ingérence dans les affaires Intérieures car les violations du droit international ne sauraient être tolérées pour protéger l’intégrité territoriale et la souveraineté des États du monde.