<span style="font-weight: 400;">Le député Franck Diongo sera à nouveau ce mercredi 28 décembre 2016 à son procès à la Cour Suprême de Justice. Lors de la précédente audience, les avocats avaient sollicité et obtenu une remise en attendant l’amélioration de l’état de santé de leur client. L’opposant a quitté les urgences, mais est toujours interné à la Clinique Ngaliema. Les avocats se disent méfiants et sollicitent son transfert vers un autre centre médical, jugé plus sûr.</span>
<blockquote class="blockquote-style-1 position-center text-left width-100" data-style="style-1" data-position="center" data-align="left" data-width="100"><i><span style="font-weight: 400;">« Aucun Congolais n’est obligé d’accepter un médecin qui n’est pas de son choix. Vous avez vu la divulgation des secrets médicaux par les médecins de Ngaliema parce que le rapport médical se retrouve entre les mains du parquet qui est un organe de poursuite. Nous avons également fait savoir au ministère public que lui ainsi que le médecin traitant avaient commis de manière flagrante la violation de secret professionnel parce que le corps de notre client n’était pas objet à expertise pour qu’après examen qu’il puisse faire rapport au parquet général de la république, »</span></i><span style="font-weight: 400;"> a dit à ACTUALITE.CD, Maître Kabengela Ilunga, avocat de l’Opposant.</span></blockquote>
<span style="font-weight: 400;">Le président du MLP (membre du Rassemblement) est jugé en procédure de flagrance. Il est accusé d’avoir séquestré trois militaires de la Garde républicaine. L’accusation avait présenté lors de la première audience aussi une vingtaine de machettes qui, selon elle, avaient été retrouvées au domicile de l’opposant.</span>