<b>La décision du Premier ministre Bruno Tshibala interdisant la vente, la commercialisation et l’utilisation des emballages en matières plastiques entre en vigueur le 30 juin prochain. Mais sur terrain, la population semble inquiète par l’absence d’une alternative, vu le niveau que représentent les transactions liées à cette activité.</b>
Cette interdiction sur l’utilisation et la commercialisation des matières en plastiques inquiète une bonne partie des Congolais. Pour cause, plus de la moitié de la population habitant les grandes villes du pays utilisent au quotidien de manière directe ou indirecte ces emballages et d’autres matières en plastique.
A Kinshasa par exemple, la vente de l’eau en sachet appelée communément «Eau Pure» nourrissent bon nombre de familles et s’impose comme l’économie de base de plusieurs ménages. La vente de l’eau et des boissons non-alcoolisées dans des bouteilles en plastique prend aussi une grande partie dans le commerce du Congolais moyen.
Pour maman Thérèse Manvuidi, veuve d’une cinquantaine d’années et mère de 4 enfants, la vente de l’eau en sachet lui permet de subvenir aux besoins de sa famille. Pour elle, le gouvernement doit trouver une solution pour leur permettre de continuer à exercer leur métier sans problème. Lire la suite sur <span style="color: #ff0000;"><a style="color: #ff0000;" href="http://deskeco.com/rdc-linterdiction-des-emballages-en-plastique-risque…;